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Richard NOËL

Richard NOËL

Architecte
Associé
Directeur artistique

Richard, à la croisée des Arts

Devenir Architecte a d’abord été un choix nourri par mon intérêt pour les Arts et la technologie, doublé d’une lecture consacré à la cité radieuse de Le Corbusier. L’ouvrage avait alors achevé de me convaincre que ma vocation était là.

La création d’INCA, il y a 25 ans, épris de liberté et d’utopie, a contribué à nourrir cette envie permanente d’envisager le projet autour d’un rêve, celui de la figure qui incarne l’esprit du lieu et qui va m’accompagner de bout en bout de mon travail.

Ainsi, chaque projet est la quête d’un objectif presque mystérieux, qu’il m’est difficile d’expliquer. J’y vois l’image du puzzle, une constitution patiente d’un site où, à la fin, toutes les pièces sont à leur place.

Je ne vois pas mon métier d’Architecte comme unique mais comme une multiplicité de métiers portés par mon intérêt pour la création.

Je me considère comme privilégié de travailler sur des sites exceptionnels et étrangement peu inspiré par l’Architecture.

Mes univers d’inspiration ont d’abord été porté par le Cinéma, la Photographie, la Couture qui nourrissent encore aujourd’hui ma sensibilité au profit des projets. La capacité à mettre en scène, à créer un univers, à passer du croquis au patron, à sculpter une silhouette autant d’approches qui s’assemblent pour guider mon regard, mon geste, ma parole.

Mes échanges avec des créateurs dans le domaine des parfums, de la gastronomie ou des spiritueux m’ont ouvert à d’autres dimensions et sensations créatives qui sont venues confirmer cette capacité à porter une vision et la conviction de son évidence.

Porté par une écoute attentive, une imprégnation des lieux et des univers je propose avant tout une approche et une réponse sur mesure.

Azzedine ALAIA définissait ainsi les choses : « Je pense que le point commun entre l’architecture et la couture, ce sont les proportions. Mais pour moi l’architecture est un art, et la couture est artisanale. La couture s’adresse à des femmes, à une femme que je dois habiller pour qu’elle soit à l’aise dans une robe, et surtout qu’elle vive dedans… C’est une affaire de complicité entre une femme et un couturier. »

Cette complicité je la retrouve avec mes clients, et elle porte la dimension d’humanité indispensable à l’existence et la réussite d’un projet.